Le travail d’intérêt général : cette alternative à la prison qui « fonctionne plutôt bien »

L’objectif phare du projet de réforme pénale est de développer les peines alternatives à la prison, et notamment le travail d’intérêt général (TIG). Au service pénitentiaire d’insertion et de probation (SPIP) du département de la Gironde, sur l’antenne de Bordeaux, six conseillers pénitentiaires d’insertion et de probation (CPIP) se consacrent au suivi des personnes condamnées à un TIG. Ils ont chacun en charge une centaine d’entre elles, sachant que, sur les 5 665 personnes suivies par le SPIP de la Gironde, 720 sont détenues et 4 945 exécutent leur peine en milieu ouvert, dont 871 sous la forme d’un TIG.

Retours d’expériences avec Catherine Lupion, directrice du SPIP de la Gironde, et Chantal Fedelich, conseillère pénitentiaire d’insertion et de probation (CPIP) à l’antenne SPIP de Bordeaux.

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